Paper b.

Mais qui est Paper b.?

Lucie

Une galerie de tableaux inspirés de ses rencontres lointaines et de ses expériences chamaniques asiatiques

Lucie U est créative, elle aime la profusion de matières, de couleurs, de musiques.

Lucie a un univers très éclectique et riche de ses rencontres. Pour autant, lorsqu’elle peint, il y a de la richesse, de la générosité, mais aucune confusion. Ses œuvres sont limpides, elles résonnent de bonnes ondes et de vibrations positives.

On adore le mélange de charbon brûlé et de peinture.  La flamme qui vient brûler la pièce, une fois encore, enrichi son travail de texture, de parfums, de spiritualité.

Lucie transcende les couleurs “laiteuses”, le blanc devient translucide. Les supports sont rarement classiques. Allez visionner les vidéos à l’atelier sur YouTube.

https://www.instagram.com/lucie.uoxeri/

Léa

Galerie de tableaux inspirés de ses rencontres et sensations

Léa aime les visages et les corps. Elle aime la douceur et la rondeur des êtres. Il y a beaucoup de douceur dans ses dessins et ses peintures. Elle aime la simplicité des formes, des couleurs, des supports sur lesquels elle intervient. Elle a un côté enfantin, pur, candide que nous adorons. 

On retrouve cette douceur dans le traitement des matières avec lesquelles elle peint ou dessine. Le pinceau est presque sec, les couleurs ne sont mélangées que par leur superposition sur le tableau. 

On pourrait penser que sa peinture est “féminine”, mais se serait réducteur. Nous espérons pouvoir vous proposer ses prochains tableaux avec des corps “masculins” … toujours cette dualité- vous serez surpris par le feu d’énergie qui en ressort.

Léa travaille en ce moment, elle réalise une commande spéciale pour une boutique de vêtements couture pour hommes. Léa travaille sur une réintéprétation des Caryatides en noir et blanc pour l’encadrement d’une cheminée moderne. En résumé, Léa travaille beaucoup..

Pas de visite d’atelier prévue pour l’instant, mais des photos sur l’évolution de cette dernière commande. Nous pourrons vous montrer le processus de ses travaux, de la commande des clients jusqu’à sa proposition artistique.

Arthur

Et, bien que tout dernier arrivé chez Free Art Republic Gallery, je prends la parole.

J’aime l’abstrait, les tableaux abstraits, les peintres abstraits, j’aime les lignes les traces, le côté évanescent des couleurs, leur côté violent certains jours, leur douceur d’autres jours. Parfois, j’ai peur des émotions qui m’envahissent lorsque je suis dans une exposition. Des peintres, hommes ou femmes, non genrés, peu importe, proposent leurs œuvres et, sans me connaître, me volent mon esprit, annihilent ma conscience, me mettent à nu. Je suis comme un enfant, j’existe, je ressens sans filtre.

Je n’ai pas besoin d’aimer ce que je vois, parfois, même, des tableaux ne me plaisent pas, mais ils s’accrochent à moi, me poursuivent des jours durant. 

La peinture est une arme très puissante. Pourquoi? Cela s’explique de façon très analytique et scientifique. 

Mais pour l’heure, sans rechercher à tout ressentir, et sans souhaiter me perdre pour autant, j’ai choisi la peinture comme métier. Je ne pense pas qu’il s’agisse d’un hasard, et aujourd’hui, j’y reste, coûte que coûte, et en conscience.

Aller à l’atelier le matin tôt, l’oublier la journée et m’y replonger la nuit tombée apporte un Bonheur égoïste (?) et entier. Peindre fait qu’une étincelle m’habite. Peindre nourrit cette petite joie intérieure qui me rend plus humain, j’accepte la vie, j’accepte sa fragilité, j’ai envie d’aimer. Mais pour être parfaitement honnête, lorsque je suis immergé dans le tableau, je suis souvent dans un état d’urgence, que, pour l’instant, je ne maîtrise pas.
Par exemple, en ce moment je fais des tests avec des peintures huiles et acryliques, leur réaction de contact pourraient illustrer les sensations physiques qui peuvent apparaître devant un tableau.

Ernesto

Passionné de voyage et des arts ethniques, Ernesto parcours de monde pour nous ramener des photos. C’est notre globe trotter qui conjugue art premier et street art.

Quel bonheur ouvrir les yeux après un long voyage sur les ruines de la ville sacrée de Machu Picchu, abandonnée lors de l’effondrement de l’empire inca qui trône comme une monumentale sculpture, œuvre maîtresse de l’architecture inca.

Ou alors se perdre entre Villa d’Hadrien et les jardins de la Villa Este de Tivoli en s’imaginent revenu au temps où l’art était central.

A son retour, il reprend son rôle d’animateur de notre communauté.